
Jean-Philippe est un passionné de parapente qui a commencé ce sport dans les années 80, grâce à un ami qui l’a initié dans les Alpes. Au début, il pratiquait surtout des vols au départ du sol avec un treuil, avec des voiles à 8 ou 9 caissons. Il a ensuite parcouru les Alpes en camping-car, ce qui était assez rare à l’époque. Malheureusement, en 2000, il a eu un accident qui l’a obligé à arrêter le parapente pendant plusieurs années. Cependant, il a finalement repris ce sport en 2010 avec l’aide de l’école Air Alpin à Saint-Hilaire du Touvet.

En plus de son amour pour le parapente, Jean-Philippe est également passionné par son métier de directeur d’une école dans le quartier du Petit-Bard. Il trouve que le parapente lui donne l’énergie et les moyens de se ressourcer pour continuer à exercer son métier.
L’élément air, omni-présent dans sa vie
Il apprécie particulièrement l’école Air Alpin car il connaît les encadrants et peut ainsi bénéficier d’une formation de qualité. Pour Jean-Philippe, le parapente est bien plus qu’un simple sport, c’est un mode de vie qui lui permet de se connecter avec la nature et de se ressourcer mentalement et physiquement.

Depuis, Jean-Philippe a volé dans de nombreux endroits, notamment à Saint-Vincent-les-Forts avec son ami de la Meuse qui l’a initié. Il a également volé aux Îles Canaries à El Hierro et continue à retourner régulièrement à Saint-Vincent-les-Forts car il aime voler à cet endroit. Pour lui, le parapente est un sport de nature qui lui permet de mieux connaître son environnement et de se ressourcer. Il considère que c’est une forme de méditation dans une bulle d’isolement, où il peut vivre en harmonie avec la nature.
Le parapente un sport collectif
Le parapente est souvent considéré comme un sport individuel, car chaque pilote vole de manière autonome. Cependant, Jean Philippe trouve que cette activité est également très collective. Les pilotes partagent souvent leur passion pour le parapente avec d’autres personnes qui partagent les mêmes intérêts, que ce soit dans des clubs, des forums en ligne ou lors de rencontres sur les sites de vol.
Cela crée un véritable sentiment de communauté, où les pilotes peuvent échanger des astuces, des conseils, des techniques de vol et des histoires d’aventures aériennes. Cette dimension collective est également importante pour la sécurité, car les pilotes peuvent s’entraider pour surveiller les conditions météorologiques, pour s’assister en cas de problème technique ou pour se porter secours en cas d’urgence.
En outre, le besoin d’identification à l’autre est également important pour le développement de la pratique du parapente. Les débutants apprennent souvent en imitant les pilotes plus expérimentés, en observant leur technique de vol, leur attitude en l’air et leur manière de se comporter sur le terrain. Les pilotes plus expérimentés jouent donc un rôle clé dans la formation des débutants, en les guidant et en leur transmettant leur savoir-faire.
En résumé, le parapente est un sport individuel qui offre également une dimension collective importante, tant pour la sécurité que pour la formation et le partage de la passion. Les pilotes de parapente ont besoin de cette communauté pour progresser, s’entraider et vivre des aventures aériennes en toute sécurité.
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